Commençons sans plus
tarder avec le point le plus intéressant de l’Unité de Formation et de
Recherche éco-gestion et d’AES du jour : l’approbation du procès-verbal de
l’Ufr précédent. M. Blancheton le soumet au vote, et celui-ci est donc adopté
(youpi), par une assemblée bien pauvre en quantité -14personnes.
L’information :
la solution – ou pas…
Viens ensuite un débat
concernant l’importance de la fréquentation de certaines licences en L3 d’éco-gestion.
En effet, malgré la stagnation récente des effectifs en licence, de très bons
dossiers d’IUT ou de d’autres facs sont refusés, car il y a trop d’inscrits
prioritaires venant de la L2 de Bordeaux 4. Problème de place dans les salles,
réticences envisageables des professionnels intervenants face à un effectifs
trop gros, refus de bons dossiers sont autant de déchets radioactifs que notre
conseil va consciencieusement tenter d’enfouir, mais comment ? Le meilleur
moyen pour éviter de répondre aux questions qui fâchent est de répondre par
d’autres questions. Ainsi, il est décidé que la meilleure solution est de faire
un questionnaire pour dissuader et/ou orienter les choix des L2. Mais là
encore, rigolons. Car si le questionnaire est retenu comme « grande »
avancée, le Sieur Maveyraud (qui porte lui le questionnaire d’orientation en M1
dont on vous par le passé parlé) dit que cela va être délicat à mettre en place
alors que le sien stagne depuis 6 mois déjà… On retiendra aussi l’intervention
du Sieur M. Dupuy qui met en avant la non-adéquation des IUT au système LMD.
Vous l’avez compris, l’INFORMATION la SOLUTION –ou pas!
On notera des
modifications dans les maquettes de licence pro en éco-gestion sur les
modalités d’examen.
Pas
de session de rattrapage pour la session de rattrapage ?
Le retour du DU masqué
Le retour du DU masqué (cf
UFR 20/06/2013) s’avance en fin de réunion. Il est discuté d’une année de
césure entre M1 et M2 qui se traduirait par la possibilité de partir à la fin
du M1 en stage et/ou à l’étranger afin de revenir tout plein de compétences.
Seulement ce qui est en fait un DU pose trois problèmes objectifs:
·
Quid des critères de sélection des dossiers
·
Renforcement des inégalités sociales,
conférant un avantage aux étudiants ayant les moyens de valoriser leur parcours
par rapport à un étudiant ne pouvant financer une telle année (la législation
étrangère ne prévoit pas souvent une rémunération de stage)
·
Nous n’aimons pas les DU
Pas de vote pour cette
idée de génie (soyons honnête). En revanche, des bourses financées par les
entreprises sont envisagées pour aider les étudiants à partir, du moins c’est
une idée comme une autre…
Une ambiance étrange règne
dans cette faculté qui visiblement par tous ses « joyeux » projets et
plein d’autres ne fait pas comme si l’UB (Université de Bordeaux qui remplace
la « NUB ») arrivait bientôt -on vous réserve une surprise-, autant
prévoir la nature ubuesque de la suite.
Pour
mettre les choses au clair…
Il nous semble important de Vous informer que
depuis plus d’un an et demi les gens que vous avez élus ne siègent pas. On
s’explique : le Met ne daigne plus mettre les pieds dans cet UFR depuis un
an et demi, Esprit étudiant depuis un an, et l’Unef ne vient que chichement, et
encore pas une seule fois depuis mai 2013 alors qu’un de leurs élus et membre
du « directoire » de la faculté. Nous étions donc encore une fois
dans cette UFR les seuls étudiants présents, ce qui devient navrant et
inquiétant la déconsidération actuelle de la démocratie universitaire.
Pimprenelle et le poireau
farceur, Bordeaux 4.